Trois
événements auront été très révélateurs du monde où l’on vit aujourd’hui.
D’abord la condamnation de Silvio Berlusconi, l’ex-homme, très fort d’Italie à
sept de réclusion criminelle pour abus de pouvoir et sexe sur mineur. C’est la
Marocaine, Karima Al Mahroug, alias Ruby qui est à l’origine du plus grand
scandale politico-prnographique du Cavaliere.
Le
deuxième sujet est la mise en examen de la méga star du foot, Lionel Messi, le
joueur argentin du FC Barcelone pour fraude fiscale. Le prodige et son
paternel, comme nous l’ont montré les enquêtes de la police espagnole, ont
monté tout un programme pour blouser le fisc espagnol, qui ne s’est pas laissé
faire, surtout par temps de grande crise. Les milliards de Messi sont les
bienvenus pour renflouer des caisses bien vides.
Le
troisième est le scandale des joueurs de la Roja, Piquée, Ramos et les autres
qui auraient payé les services de filles de charmes pour une partie de
strippoker. Cela nous rappelle l’épisode avec Franck Ribéry et Karim Benzéma
lorsque Zahia Dehhar a levé le voile sur certaines pratiques financiéro-érotiques
très prisées dans le monde très feutré du football.
On
peut même ajouter à cela, ce qui se passe en République Tchèque qui flirte avec
une grosse crise politique parce que l’ancien Premier ministre démissionnaire,
malgré lui, a laissé traîner ses affaires personnelles en public. Autrement
dit, sa maîtresse qui utilise les services de l’Etat pour faire suivre la
propre femme de son amant de Premier homme fort du pays, il faut le faire. Et
comment, on pouvait s’y attendre cela a éclaboussé tout el monde.
Le
fric et le sexe ont toujours fait bon et surtout mauvais ménage. Quand le
pouvoir s’en mêle, le cocktail est explosif. Silvio Berlusconi en sait quelque
chose, lui, qui a au moins quelques 11 ans de prison à négocier avec les
autorités de son pays pour ne pas croupir dans une cellule.
Quand
à Messi, on l’a bien vu, on se met à table, on négocie, et l’icône, même
salement amochée pour tricherie et vol, continuera de remplir les stades.
Quand
à Gerard Piqué, c’est avec Shakira que les choses risquent de très mal se passer. La Latina serait jalouse surtout que c’est une Brésilienne
qui a officié au près de son défenseur. Tout ce remue-ménage est régi par la
facilité d’une vie où l’on a tellement de pognon qu’on ne sait plus quoi en
faire. Certains donnent des Bunga-Bunga, d’autres veulent le planquer ailleurs
et certains parient sur fond de strip-tease. À chacun son dada, dirait l’autre.
Et nous, on écrit dessus et on se dit tant mieux qu’il y ait de l ’actu.
Ailleurs, car, chez nous, on est au point mort.
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