La loi des séries « Person of Interest »

Après « Alias », « Lost » et « Fringe », J.J. Abrams, grand producteur de séries cultes, nous gratifie d’un opus de bonne facture. Avec Person Of Interest, dont la troisième saison vient d’être lancée sur les écrans américains  le 24 septembre 2013, c’est un must qui fait pâlir d’ingéniosité, d’exactitude et de maîtrise de nombreux produits télévisuel, donnant dans le consensus et le déjà vu ailleurs. Créée par Jonathan Nolan, elle est diffusée sur TFI depuis mars 2013.  C’est l’histoire d’un ancien agent paramilitaire de la CIA, qui est recruté par Un agent paramilitaire de la CIA, présumé mort, est recruté par un millionnaire qui vit caché pour l’aider à travailler sur un projet top-secret. Le milliardaire, doublé d’un génie en informatique avait mis au point une machine pour espionner tout le monde. Une sorte de Big Brother dont il compte se servir pour prévenir des crimes sur le point d’être commis. Son rôle, et celui de son acolyte, est d’aider les gens avant qu’il ne soit trop tard. Servie par d’immenses acteurs  autour de la pair Finch-Reese, incarnés par Michael Emerson et Jim Caviezel. Ils sont secondés par Taraji P. Hansen et Kevin Chapman. Pour cette troisième saison, c’est Sara Shahi, très remarquée dans Life aux côtés de Damien Lewis, le héros de Homeland, qui devient personnage régulier. Avec une écriture au poil et une mise en scène digne des plus grands films d’espionnage, Person of Interest est une série où chaque épisode est un film à part entière.