Des centaines d’études réalisées par des groupes
scientifiques indépendants ont démontré depuis plusieurs années, que le lait
est très dangereux pour la santé. Il peut causer des cancers comme celui du
sein, de la prostate, des complications cardiovasculaires et d’autres
affections.
C’est
une évidence scientifique. Le lait de vache, le lait de chèvre ou tout autre
espèce lactique ne sont pas destinés à la consommation humaine. Le lait de
vache est très bon, mais pour le veau, pas pour les humains. D’ailleurs, la
seule race vivante qui boit et mange des dérivés laitiers provenant d’un autre
animal est la race humaine. Dans le règne animal, le porc ne boit pas le lait
de chèvre, et le lait de jument
répugne à l’agneau… les chercheurs affirment que seul le lait de la mère est
bon pour le bébé. Après le sevrage, aucun autre lait ne doit être donné aux enfants. Même les animaux l’ont
compris. Une fois sevrés, l’ourson ou le louveteau ne cherchera plus ni les
tétons de sa génitrice ni une autre substance liquide, blanche et bourré de
germes.
Cancers
D’ailleurs,
toutes les études sont au moins d’accord sur un chiffre : «plus de 75% de la population mondiale
est intolérante au lait de vache». Pourtant, le lait est l’un des produits les
plus vendus dans le monde. A coup de pub, de réclame, de leçons nutritives, on
vante ses bienfaits. L’autre point important souligné par la communauté
scientifique est le fait que le lait de vache est plus riche que le lait
maternel chez l’homme. Il permet la croissance du veau en un an. Il est donc
inadapté aux enfants et peut devenir très vite un réel poison. «Le lait de vache élève le cholestérol sanguin et les graisses du
sang, et contient 300 fois plus de caséine que le lait maternel humain. Cette
caséine est une colle puissante qui encrasse l'organisme de façon considérable.»
Dans ce sens, un grand spécialiste comme le Dr Jean
Seignalet, auteur de «l’Alimentation ou la troisième médecine »
conseille de « supprimer tous les laits animaux (vache, chèvre,
brebis) et leurs dérivés : beurre, fromage, crème, yaourt, glace ».
Le chercheur affirme également que
le lait est responsable de maladies auto-immunes comme les problèmes articulaires, la sclérose en plaques,
mais aussi de cancers et de problèmes d’asthme ou d’allergies. C’est là
un point de vue scientifique étayé par les recherches de Henri Joyeux,
professeur de cancérologie et de chirurgie digestive à la Faculté de Médecine
de Montpellier, qui a préfacé l’ouvrage du Dr Seignalet et qui a lui-même édité
«Changez d’alimentation » pointant du doigt tous les risques encourus par
les hommes en buvant du lait ou en mangeant des produits laitiers.
Mensonges et tricheries
En effet, d’autres recherches
américains, allemandes, australiennes et canadiennes ont démontré que le lait « est un concentré de graisse, de
cholestérol, d'antibiotiques, de bactéries, et de pus». Oui aussi effrayant et
incroyable que cela puisse paraître, c’est vrai. Les vaches sont devenues de
véritables usines à lait. Une vache peut produire jusqu’à 10 000 litres de lait
par an. C’est tout bonnement impossible sans les antibiotiques et d’autres
substances dont les industriels les gavent. Face à cette frénésie de la traite
à tous prix, les vaches développement des infections répétées comme
la fameuses mammite. Et lors des traites, le pus et les bactéries finissent
dans le lait que l’on va boire. Dans un ouvrage de référence intitulé, «Lait,
mensonges et propagande », Thierry Souccar, qui est directeur de la rédaction des sites lanutrition.fr et
sante.nouvelobs.com, mais aussi responsable des questions de santé et nutrition
pour Sciences et Avenir depuis 1994
et membre de l'American College of Nutrition, démontent tous les
arguments des industriels et des nutritionnistes pour nous faire consommer plus
de laitages. « Les laitages
préviennent l'ostéoporose. » C’est faux, affirme le spécialiste.
« Nos os ont besoin d'un maximum de calcium. » Encore faux. « On
est plus mince quand on boit du lait. » Archi faux. « Il n'y a aucun
risque de cancer avec les laitages. » Il n’y a pas plus faux. « Les
buveurs de lait ont moins de diabète. » Un grand mensonge, affirme le
docteur français. Pire, si l’on suit les conseils des pubs et autres faux
rapports bénéfiques pour les industriels qui conseillent de prendre des
laitages au moins 3 à 4 par jour, on se rend compte comme le souligne
Thierry Souccar que
les laitages peuvent favoriser maladies cardiovasculaires, diabète, cancer du
sein et cancer de la prostate...
Le
mythe du calcium
Partout dans le monde, l’industrie du lait a
infiltré des instituts de recherches en mettant en avant le besoin pour l’homme
de consommer du lait. Pourtant, même sur les mythes les plus basiques liés aux
laitages, on découvre aujourd’hui qu’il y a mensonge. Contrairement à ce est véhiculé sur les télés et les radios, à
ce qu’on peut lire dans certains magazines et journaux, le calcium contenu dans
le lait de vache n'est pas assimilé
correctement par le corps humain. Comment cela ? C’est simple : le
lait est trop riche en protéines. Pour qu’elles soient éliminées par le corps,
elles obligent l’organisme humain à mobiliser son propre calcium. Résultat des
courses, c’est en buvant du lait qu’on l’on perd notre calcium. Du coup, pour de très nombreux
chercheurs, «les produits laitiers sont
eux-même l'une des causes de l'ostéoporose.» par ailleurs, pour assimiler le
calcium, le corps a besoin de grandes quantités de magnésium. Et le lait de
vache en est pauvre. Ce qui rend l’assimilation du calcium difficile sinon impossible dans certains cas.
L’avis de Dr Neal Barnard (Président du
"Physicians Committee for Responsible Medicine")
"On ne peut pas allumer la
télévision sans entendre des publicités suggérant que le lait favorise des os
forts. Les publicités ne mentionnent pas que seulement 30% du calcium contenu
dans le lait est absorbé par le corps, ou que l'ostéoporose est fréquente parmi
les buveurs de lait."
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