Selon une nouvelle
étude anglaise, la vodka serait responsable de près d'un quart des décès des
hommes de moins de 55 ans. De quoi
réfléchir avant d’avaler une gorgée.
On le sait, en Russie, la vodka est sacrée. On en
boit tout le temps. Certains se cachent derrière le vieil argument du gel
ambiant pour dire qu’ils boivent pour se réchauffer. Et chez nous ?
Pourquoi une telle addiction à la vodka ? Pourtant, il fait très chaud.
Selon certains propriétaires de bars t de boites de nuit, de plus en plus de
jeunes, hommes et femmes sont devenus accros à la vodka. La nuit, les sorties,
la vie facile, la bêtise, bref, les raisons sont multiples, mais aujourd’hui
bon nombre d’études internationales démontrent par les faits que la vodka peut
très vite tuer ou du moins réduire l’espérance de vie de beaucoup d’années.
Selon le Centre international de recherche sur le
cancer et des chercheurs de l'université d'Oxford, au Royaume-Uni, la vodka serait liée à 35% des décès d'hommes de moins
de 55 ans.
Pour arriver à de telles conclusions, les
scientifiques britanniques ont
analysé le taux de décès prématurés auprès de 151 000 personnes de 35 à 74 ans
buvant au moins trois bouteilles de vodka par semaine. Les expériences se sont
déroulées entre 1999 et 2010. Au bout d’une décennie, les résultats sont sans
appel : 8 000 personnes sont mortes, comme le révèle l'étude, publiée par
la revue médicale The Lancet,
fin janvier 2014.
Pour tous les spécialistes, la cause est claire : l’abus d'alcool frelaté,
les accidents, les violences et les suicides, sans oublier les maladies liées à
l'alcool comme les cancers de la
gorge et du foie, la tuberculose, les pneumonies et les hépatites. De très nombreuses pathologies dont les
effets sont accélérés par l’ingestion de l’alcool. D’ailleurs, les chercheurs
précisent que ce n’est seulement la vodka qui est mise en cause, mais tous les
types d’alcool dont les retombées néfastes sont très connues par les milieux
médicaux. D’où l’importance de faire attention de ne pas tomber dans les
travers de l’alcool en en ingurgitant des quantités dangereuses. Un verre ça va, trois verres, bonjour
les dégâts.
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