L'Organisation Mondiale de la
Santé utilise l'indice de masse corporelle (l’IMC, le rapport du poids sur le
carré de la taille) pour étudier de la corpulence des populations au niveau
mondial. Mais aujourd’hui, plusieurs chercheurs montent au créneau pour
affirmer que «l'IMC est un
indicateur qui présente des limites.» Les seuils de l'OMS ne tiennent par
exemple pas compte les caractéristiques ethniques ou nationales du patient (par
exemple un Asiatique est obèse avec un IMC à 27, alors qu'un Européen serait «
seulement » en surpoids) le sexe et la répartition de la masse grasse. C’est
dans ce sens que des professionnels de la
nutrition (nutritionnistes, diététiciens, médecins, chercheurs, ingénieurs de
l'agro-alimentaire, paramédicaux, journalistes scientifiques) se sont réunis en France début février
2014, pour étudier de près les
lacunes de cette méthodes et apporter de nouvelles mesures pour mieux cerner
les problèmes liés au surpoids et à l’obésité.
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